On en parle

CRITIQUE DE MUSICOLOGIE.FR

Pour la sortie de l’album “Impressions françaises”.

Un album entre classique et jazzy consacré aux ambiances musicales françaises…
… Une belle réussite.

Musicologie
Alain Lambert

• Pour lire cette critique :   > suivez ce lien <  

CRITIQUE DE GABRIEL YARED

Pour la sortie de l’album “Impressions françaises”.

“À travers leur interprétation intense et inspirée,
les deux complices, Michel Supéra et Eric Comère,
nous emportent dans un monde lumineux, un univers éclectique,
allant de Bizet  à Trotignon,
et au service de toutes les musiques.
Bravo et Merci pour votre arrangement de Vincent et Théo !”.

Gabriel Yared,
Compositeur.

Critique de Gabriel Yared
CRITIQUE DE LAURENT PETITGIRARD

Compositeur.

“C’est avec un grand plaisir que j’ai découvert
ces Impressions Françaises enregistrées par Eric Comère et Michel Supéra.
La fusion magnifiquement contrôlée des timbres de l’accordéon
et des saxophones alto ou soprano de ces deux excellents instrumentistes
évolue selon les répertoires proposés, qu’ils proviennent du classique,
du jazz, du cinéma, de la musique populaire ou d’œuvres d’Eric Comère.
La qualité technique des deux interprètes est au service
d’une très belle musicalité ce qui fait de ce disque original
une grande réussite.

Laurent Petitgirard
Compositeur.

CRITIQUE DE FRÉDÉRIC LODÉON

Chroniqueur sur France Musique.

“Vous trouverez dans cet enregistrement beaucoup des richesses
de l’esprit français: la libre gaité, la nostalgie,
la vitalité, la clarté, le lyrisme ou l’énergie rythmique.
L’alliance sonore des saxophones de Michel Supéra et de l’accordéon d’Éric Comère
convient à merveille à ce répertoire très varié,
qui nous emmène des mélodies les plus touchantes des meilleurs auteurs populaires
aux pièces les plus populaires de grands compositeurs d’hier et d’aujourd’hui.
La diversité des styles abordés permet aux deux interprètes
d’exprimer toutes les nuances de leur expressivité et de leur virtuosité.
Je retrouve dans certains passages l’atmosphère du Paris d’autrefois
qui a servi de cadre à tant de films noirs ou romantiques
aujourd’hui mondialement connus.
Merci à Eric Comère et Michel Supéra
pour ces éloquentes « Impressions françaises »”.

Frédéric Lodéon, le 2 septembre 2022.

CRITIQUE DE THIERRY VAGNE

Pour la sortie de l’album “Impressions françaises”,
Musiques rares et légères – Daniel Propper – Michel Supéra…

• Pour lire l’article :   > suivez ce lien <  

GANG FLOW

Le média de la musique classique.
Michel Supéra : A la croisée des répertoires du saxophone.
Le 13 août 2019, par Anne-Sandrine DI GIROLAMO

• Pour lire l’article :   > suivez ce lien <  

LE TÉLÉGRAMME

Concerts sandwich. Saxophone et accordéon ont comblé le public.
Publié le 28 novembre 2018 à 18h46

• Pour lire l’article :   > suivez ce lien <  

Concerts sandwich. Saxophone et accordéon

INTERVIEW WÉO

Interview par Wéo, la télévision des Hauts-de-France,
du Duo “Vents d’Est … en Ouest”,
Michel Supéra (saxophones) & Eric Comère (accordéon).

• Pour voir la vidéo :   > suivez ce lien <  

Wéo, la télévision des Hauts-de-France

VOSGESMATIN.FR

“L’AMÉRICAINE EN OUVERTURE…”

• Pour voir l’article :   > suivez ce lien <  

Vosgesmatin.fr

L’ECHO DES VOSGES

“VOYAGE EN MUSIQUE”

• Pour voir l’article :   > suivez ce lien <  

Vosgesmatin.fr

VOGES TÉLÉVISION

Journal de mardi 26 septembre.
OUVERTURE AMÉRICAINE, L’association des Concerts Classiques d’Epinal célèbre cette année ses 71 ans, et en ouverture de sa nouvelle saison invitait dimanche dernier à la Rotonde de Capavenir Vosges Thaon, l’orchestre d’harmonie des gardiens de la paix de Paris.

• Pour voir la vidéo :   > suivez ce lien <  

LA VOIX DU NORD

Le monde selon Comère et Supéra… Concert du 26 mai au Festival jazz d’Arras.

• Pour voir l’article :   > suivez ce lien <  

CRITIQUE POUR “LES HORIZONS CONCERTANTS”

Voici une critique “Des horizons Contertants” par Francis Pieters, pour CMF magazine n° 577 (mai 2016).

• Pour voir la critique :   > suivez ce lien <  

CRITIQUE DE GEORGES KIOSSEFF

Producteur à France Inter, réalisateur sur France Culture, réalisateur à France Musique d’émissions quotidiennes et hebdomadaires…

« Les duos accordéon/saxophone sont toujours imparables, voir le tandem Vincent Peirani/Emile Parisien, ou plus ancien l’association Richard Galliano/Michel Portal, les timbres et les phrasés de ces deux instruments sont diaboliquement complémentaires … rappelons d’ailleurs pour mémoire que tous deux sont des instruments à anches .

Le projet « Vent d’Est en Ouest » vient de sortir il y a quelques semaines grâce à la collaboration de la société « Buffet-Crampon » , facteur d’instruments bien connu et le « Phénix » scène nationale de Valenciennes, comme quoi ils n’est pas de bon bec que de Paris, CQFD !
Ce projet, donc, est le fruit de la rencontre il y a quatre ans entre l’accordéoniste/compositeurEric Comère et le saxophoniste Michel Supéra .
À noter que Michel Supéra est artiste « Buffet-Crampon » depuis deux ans et joue sur la nouvelle gamme « Senzo » du fabriquant, qui donne des instruments d’une justesse, qualité de timbres, et souplesse de jeu, révolutionnaires … évident à l’écoute de ce projet !

Sur le CD, excepté deux titres, l’un de Tony Murena, l’autre d’Hermeto Pascoal, toutes les compositions sont d’Eric Comère .
Le projet se divise en gros en deux parties, la seconde étant « inspiration bulgare » une sorte de double-concerto sur lequel se greffent le quatuor à cordes « Joachim » et Olivier Talpaert à la contrebasse .
Une très belle suite, inspirée et profonde .
La musique d’Eric Comère est belle, lumineuse, et fluide .
De plus remarquablement servie par deux musiciens virtuoses sans aucune ostentation, la signature des grands artistes .
Un voyage musical à travers de nombreuses cultures et influences riches et variées.
Fluidité et musicalité sont les maîtres-mots ressentis à l’écoute de cette pépite .
Dire que j’ai aimé est un euphémisme, j’ai ADORÉ !! »

CRITIQUE D’ANDREAS SCHWEIBERER

Concert du dimanche 12 juillet 2015, en Allemagne.
Programme de Musique Française avec l’orchestre National d’Oldenburg
Direction Laurent Petitgirard
Soliste Michel Supéra

« … le Concerto pour saxophone et orchestre « Etats d’âme » de 2013 est dans la tradition française de la musique impressionniste avec un chatoiement de couleurs et d’images. Cette musique reste consciemment tonale chez Petitgirard et se rapproche de la musique de film.
Le soliste Michel Supéra , enchante avec son saxophone chaque mélodie en passant par des moments classiques et des moments de jazz.
Ce sont des états d’âme développés dans les moindres détails qui sont rendus par l’instrument, qui augmentent et puis retombent et qui coulent l’un dans l’autre … »
Andreas Schweiberer.

Interview Michel Supéra

FRANCE MUSIQUE

Enregistrement d’une emission “Le Grand Caléidophone” avec Pierre Charvet.
Il y a deux cents ans, naissait en Belgique Adolphe Sax, le génial inventeur du saxophone.
Pour évoquer cet instrument, Le Grand caléidophone accueille ce soir, l’un de ses ambassadeurs,
le saxophoniste Michel Supéra.
• Dimanche 16 mars 2014
• Pour écouter : >cliquer ici<
 

LA VOIX DU NORD

Concert du 17 mars 2013, création d’Etats d’âme :

Un grand moment avec Laurent Petitgirard et l’Orchestre de Douai.
« Au saxophone, il revenait à Michel Supéra l’honneur d’interpréter ce nouveau concerto. Bien secondé avec l’orchestre et son chef, il le fit d’une façon magistrale. Il poussa son instrument jusqu’aux limites possibles dans les tessitures imposées avec le compositeur. »

LE JOURNAL DU CENTRE

Concert du 11 août 2013 à La Charité sur Loire avec le Quatuor « Inédits »

« C’est dans le cadre majestueux de la salle capitulaire que le quatuor Les Inédits, composé de Jean-Pierre Baraglioli, Clément Himbert, Michel Supéra et Philippe Portejoie, a fêté la fin d’un festival 2013 qui aura enregistré un véritable succès pour l’ensemble de ses cinq concerts, remplissant le plus souvent les salles et dont les concerts décentralisés n’ont pas été boudés du public…. Il y avait là un quatuor de saxophonistes exceptionnels, parmi les plus grands de la scène française pour des interprétations particulièrement émouvantes des grands standards, mais aussi de musiques plus inhabituellement entendues par ce genre d’instruments…
Un hommage de la musique au cinéma, souvent si proches l’un de l’autre, par quatre saxophonistes en parfaite harmonie qui se produisent ensemble à travers le monde depuis 2005. »

Michel Supera et Pierre Charvet

PIERRE CHARVET

Création de « Novasto » pour saxophone alto et électronique
le 21 mai 2011 au Festival MEN à Wroclaw.
www.pierre-charvet.com

«C’est à l’intention de Michel Supéra que j’ai composé Novasto,
pour saxophone et électronique.
De la composition des premières mesures jusqu’à la création en Pologne,
cette partition nécessitait un intense dialogue entre le compositeur et l’interprète.
Tout au long de ce processus, Michel Supéra a donné à cette partition
tout ce que je pouvais espérer : sa grande musicalité, une implication exceptionnelle,
et une rare intelligence du texte. Ainsi cette pièce n’est pas seulement la mienne,
elle est aussi celle de Michel Supéra.

Michel_SikoraELZBIETA SIKORA

Création de Happy Valenciennes pour saxophones et électronique,
le 24 novembre 2012 à la Scène Nationale de Valenciennes « Le Phénix ».
www.elzbietasikora.com

« Travailler avec Michel Supéra, l’interprète, m’a donné beaucoup de satisfaction.
Pour »Happy Valenciennes » Michel Supéra n’a pas seulement été à l’origine du projet
mais s’est énormément investi en tant que soliste et pédagogue
sachant motiver ses élèves face à une expérience nouvelle pour eux.
Michel Supéra a joué avec brio les 15 minutes du solo de saxophone alto
accompagné des transformations en temps réel réalisées par Carl Faia.
Il a été à la fois inventif et attentif à la partition.
Je serai heureuse de retravailler avec lui dans le futur. »

Michel Supera, concert du 16 septembre 2011.

Michel Supera,
concert du 16/09/2011.

ANDRÉ WAIGNEIN

www.andrewaignein.com

« Cher Monsieur Supera,
Mes “Deux Mouvements pour Saxophone Alto”, qui datent des années 1980,
sont régulièrement programmés à travers le monde.
J’ai plusieurs enregistrements de cette composition.
Je l’ai entendue en concert beaucoup de fois. Je croyais avoir tout entendu.
Cependant, en assistant à votre remarquable prestation avec l’Orchestre des Guides de Belgique,
j’ai découvert des nouvelles facettes de ma composition.
Effectivement, dès les premières mesures, la délicatesse de votre sonorité, vos inflexions musicales,
vos intentions m’ont particulièrement impressionné. Votre interprétation de la « Complainte »
était tout simplement dithyrambique. J’ai ressenti beaucoup d’émotions.
Dans ces moments-là, je regarde le public pour voir si ses réactions sont pareilles aux miennes.
Je puis vous dire, que ce fut le cas….

Le « Caprice » qui s’en suivit, fut, bien sûr, spectaculaire mais toujours empreint de « cette » musicalité qui vous est propre.
J’ai apprécié tout particulièrement les arabesques dans la tessiture grave,
exécutées dans une régularité exemplaire (comme le souhaite le…compositeur).
Par ailleurs le dialogue avec l’orchestre m’a également plu.
Dans certains passages vous étiez volontairement en retrait.
Bref, vous avez interprétez mes « Deux Mouvements » avec une aisance telle que public,
orchestre et…compositeur furent subjugués et surtout admiratifs.
Je puis vous dire, sans révéler un « secret », que les musiciens et le chef ont également apprécié votre prestation
et furent heureux de vous accompagner.

Quant à moi, je vous remercie énormément de mettre « ma » musique en exergue en l’interprétant comme vous l’avez fait.
Je vous enverrai dans quelques jours le matériel de ma dernière composition pour saxophone alto
(Rhapsody for Alto Saxophone and orchestra –orchestre de chambre-), en espérant, j’en suis persuadé,
que vous l’interpréterez également avec vos propres émotions musicales.

Je ne devais pas assister à ce concert…mais je suis très heureux d’avoir décidé de me déplacer
et surtout de vous avoir entendu. Encore mes plus vives félicitations et….Merci.

André Waignein. »

LA VOIX DU NORD
Michel Supéra, un souffle divin au CSE

Concert Wattrelos 13 octobre 2012

“En effet Michel Supéra, accompagné d’un orchestre (Musicaplus, 60 musiciens venus d’Anches, non loin de Lens. dont un contrebassiste) a régalé une salle comble…ce  virtuose a enthousiasmé. Il a dirigé durant une dizaine d’années un grand orchestre de jazz en région parisienne. Il a également joué avec l’orchestre de la RTBF, l’ONL, à Valenciennes notamment. Professeur de saxophone, il ne se lasse pas de transmettre sa passion aux autres.”

LA VOIX DU NORD

“Zehava” de Pierre Charvet , ou la naissance d’une oeuvre au sein de la famille du festival Harpe en Avesnois

Concert du 5 février 2012 au Festival Harpe en Avesnois

« Nous allons assister à la naissance d’une oeuvre, a rappelé Jean Duprey, le président de l’association Harpe en Avesnois. C’est comme pour un bébé, c’est très important. » On a vu alors arriver Anne-Sophie Bertrand et Michel Supera, deux musiciens virtuoses, prendre place sur scène pendant que le « papa » compositeur s’installait parmi la foule, la tête entre les mains, tendu et concentré……

Avec ce concert, Michel Supera a montré que le saxophone pouvait être un étonnant instrument mélodique, souple et aussi léger qu’une clarinette, avec cette profondeur qui lui permet d’aller plus fort, plus loin….Au final, Zehava, deux visions de l’or a été fort applaudi. Et le « papa » s’est déclaré « très content». L’oeuvre est née (dans une église, en plus…), il lui reste à faire son chemin : « Une oeuvre survit quand les musiciens ont envie de la jouer. » • V. T.

NORD ÉCLAIR
“Vents d’Est en Ouest”

Concert du 3 février 2012

“Les invités d’honneur de la soirée, Michel Supéra et Éric Comère, leur ont emboîté le pas sur scène. Le duo a interprété plusieurs de ses compositions originales, comme Mea Culpa ou Obsession. Des titres courts qui ont rapidement révélé l’ambiance dans laquelle les spectateurs allaient être plongés durant la soirée.
En dépit d’un titre au nom un peu inquiétant et son rythme enlevé et répétitif, Obsession a charmé l’auditoire. il faut dire que les deux musiciens se répondaient harmonieusement.

Une large place à l’improvisation

Preuve d’une belle complémentarité que l’on retrouve à la fois sur scène et en dehors, puisqu’Éric Comère écrit des morceaux que Michel travaille de son côté pour mieux se les approprier. Chacun y apporte ensuite sa touche de créativité.
Les compositions du duo interprétées durant la soirée ont été très variées, mêlant sonorités tziganes, musiques d’Europe de l’est, voire même du tango.
Au gré de plusieurs de leurs compositions, Michel Supéra et Éric Comère ont accordé une large place à l’improvisation